Avec son sourire énigmatique qui a fasciné et continue de déconcerter les experts depuis des siècles, la « Gioconda » (Jaconde) demeure une œuvre de référence. Plus de 500 ans après la réalisation du chef-d’œuvre de Léonard de Vinci, un historien amateur d’art, affirme avoir trouvé la clé de l’énigme que cachait la muse du peintre. Selon, l’universitaire américain, William Varvel, Mona Lisa était une féministe convaincue du 16ème siècle qui a joué un grand rôle dans la lutte pour l’ordination des femmes au sein de l’Eglise catholique.

Il est désormais acquis que le modèle de la Joconde, Lisa de Giocondo, était issue d’une famille noble de Florence (Italie). C’est son mari, un riche marchand de tissus, qui aurait commandé le portrait.

Dans un livre récemment publié, intitulé «Paroles d’une femme: Découvrir les secrets de la Joconde », l’auteur a écrit : «La Gioconda pourrait constituer une grande déclaration pour les droits des femmes ».

Au moins 40 symboles, incrustés en toile de fond, ainsi que quelques reliefs, mis au premier plan, semblent confirmer la théorie de Monsieur Varvel. On peut noter par exemple que le Calvaire, le lieu où Jésus a été crucifié, émerge derrière l’épaule droite de Mona Lisa, tandis que le Mont des Oliviers, d’où il est monté au ciel, apparait de l’autre côté. Les plis sur les bras de la robe suggéreraient un joug, symbole de l’oppression des femmes.

Bien avant que le professeur Varvel ne publie son livre, d’autres historiens ont prétendu que la muse de Léonard de Vinci souriait parce qu’elle venait récemment d’accoucher.

De fait, William Varvel affirme n’avoir jamais vu la Joconde de près et ne compte pas jouer des coudes pour la voir. « Il faudrait que le Louvre de Paris, qui abrite l’original de l’œuvre, m’accorde une projection privée pour que je m’y rende » a-t-il dit.

Notis©2014