Vladimir Poutine de la Russie, Xi Jinping de la Chine, Recep Tayyip Erdogan de la Turquie, Paul Kagame du Rwanda, entre autres, ont été salués comme des « Dirigeants Progressistes et Éclairés », symbole d’un nouveau départ pour leur pays. Comment ces dirigeants jugés aujourd’hui autocratiques et viscéralement vicieux ont-ils pu s’attirer les faveurs des médias occidentaux à leur arrivée au pouvoir ?

C’est la question à la quelle Gideon Rachman, chroniqueur international de longue date du Financial Times, tente de donner une réponse, à travers un livre intitulé « The Age Of The Strong Man: How The Cult Of The Leader Threatens Democracy Around The World ».