C’est un exercice d’équilibre délicat entre dire à l’enfant ce qu’il doit savoir et ne pas le submerger ou le surcharger. Trouver le bon niveau d’information à révéler à un enfant en fonction de son âge est primordial. La communication doit être adaptée à son âge. Il est également important de tenir compte du niveau de maturité de l’enfant.

Reste que confier à l’enfant un événement traumatisant d’une vie -aussi « entachée » soit-elle- peut en fait être quelque chose de positif pour lui. Plusieurs études ont, en effet, montré que l’inclusion des enfants dans des discussions sur des sujets difficiles, tels que les traumatismes, contribue à renforcer les liens familiaux, les aide à développer leur résilience, à nouer des relations de qualité et à avoir une plus satisfaction globalement positive de la vie.

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Par Mary Maz