Cet exemple est un cas d’école que ruminent les sportifs payés à un haut niveau. On peut citer le cas de cet ancien footballeur qui a tout perdu lors de son divorce au profit de son ex-épouse, parce qu’elle l’a « encouragé » à être un bon milieu de terrain pendant leur mariage.

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Aujourd’hui, épouser un homme avec un compte en banque bien garni est le rêve de toutes les jeunes femmes. Elles ne lésinent pas sur les moyens pour accrocher les yeux des footballeurs riches et mal instruits : maquillage, chirurgie… Pourquoi cette mise en scène grossière? Parce que c’est mieux que de se lever à 7 heures et faire le trajet quotidien vers un travail contraignant et peu rémunéré.

Le ras-le-bol

Lorsque le mariage est terminé, il est temps pour la femme de passer à la « caisse ». Ce moment est d’autant plus attendu que les juges sont réputés favoriser l’épouse dans le partage des biens.

La situation de l’homme est encore intenable lorsque le mariage a engendré des enfants. Dans l’ancien temps, les hommes obtenait généralement la garde des enfants en cas d’une scission du ménage – non pas en raison d’un privilège, mais parce qu’ils étaient financièrement plus responsables que les femmes. Aujourd’hui, la situation a radicalement changé : les femmes obtiennent la garde des enfants dans 98% des cas.

En revanche, les hommes sont condamnés à verser des pensions alimentaires jusqu’à la fin de leur vie et parfois pour des enfants qui ne sont pas les leurs.

Devant une telle réalité que doit faire un homme? «S’il est déterminé à se marier, il doit obtenir un contrat prénuptial organisant la répartition des biens en cas de divorce ou  ne pas se marier, surtout s’il est dans une perspective de gagner beaucoup d’argent », répond un avocat spécialisé dans les divorces.