L’ « aristocrate » est plus discipliné et préfère épargner, plutôt que de dépenser. Il préfère garder l’argent au sein de la famille. L’illustration de cette prédisposition à dépenser des nouvellement riches a été donnée récemment par Mark Zuckerberg, le créateur d’un réseau social, qui a dépensé plus de 30 millions de dollars pour acheter les quatre maisons entourant sa maison, pour tout juste assurer sa sécurité (ou tranquillité). En comparaison, une personne dont la richesse s’enracine dans plusieurs générations achètera un manoir ou une maison ou encore une voiture d’époque ancienne, pour un prix beaucoup plus bas, et ne le fera pas juste pour en avoir plus.

La famille

Dans les sociétés européennes classiques et traditionnelles, les générations se passent leur héritage les unes après les autres et le conservent au sein d’un seul patrimoine. Le nouveau riche n’a pas vraiment de tradition familiale ; il se préoccupe peu d’où vient et où va son argent. Il s’est construit seul et a construit sa richesse de ses propres mains, à la sueur de son front, sans aide familiale.

La lutte pour l’argent

La plupart des nouveaux riches étaient des individus qui végétaient dans une classe basse ou moyenne, avant de récemment entré dans une limite d’imposition supérieure. Les « Aristocrates » ont  été élevés sans souci d’argent toute leur vie et ne savent pas ou ne veulent pas savoir comment souffre le reste de la société. Un monde diamétralement opposé à celui du nouveau riche…

La prime de salissure