Travailler avec des artisans, petits commerçants, pigistes  et tous les autres prestataires exerçant en freelance (indépendance) est essentiel pour le fonctionnement normal d’une entreprise. En fait, le monde des prestataires indépendant est beaucoup plus important que le montrent les chiffres officiels : il représente, selon les pays, entre 25% et 50% de la main-d’œuvre nationale et génère un chiffre d’affaires non négligeable (un milliard de dollars par an aux États-Unis d’Amérique).

Mais, collaborer avec un « pigiste » est souvent synonyme de montée de la tension artérielle : impossible de l’avoir au téléphone, il ne répond pas aux emails, les projets pour lesquels il est engagé sont sur le point de tomber à l’eau…

Comment éviter de taper le poing sur la table ou de se cogner la tête contre le mur, lorsqu’on travaille avec un prestataire indépendant ? En d’autres termes, Comment gérer votre pigiste et en même temps vos nerfs ? Voici quelques 10 conseils pour y arriver.

  1. Fixez les règles de base

Avant de commencer à travailler avec un pigiste ou un professionnel du secteur libéral, organisez dès que possible une rencontre afin d’établir, dans une discussion amicale, les règles de votre future collaboration.

Le pigiste devrait se joindre à votre équipe et pouvoir s’adapter à votre façon de travailler. Faites-lui savoir ce qu’il peut et ne pas faire. Soyez également clair sur vos attentes, en termes de timing et de rapidité.

Si vous tenez à garder le silence sur cette nouvelle relation professionnelle, assurez-vous que le « freelancer » soit un homme discret.