1) Des 15 millions de dollars de rémunération réclamés en avril par Vikram Pandit, alors que l’action Citigroup s’était effondrée de 89 % depuis qu’il avait pris les rênes de la banque.
2) Des 4,7 milliards de provisions qu’a été obligé de passer Citigroup parce que Vikram Pandit avait mal évalué les 49 % que la banque détenait dans Smith Barney, une filiale commune avec Morgan Stanley.
3) Du revers essuyé par Vikram Pandit en mars, lorsque Citigroup s’est fait retoquer par la Réserve fédérale américaine son plan de distribution de dividendes, après des «stress tests», qui n’avaient pas été très concluants.

Cette fois, plusieurs réponses étaient possibles.

Michael O’Neill, candidat malheureux au poste de Vikram Pandit en 2007, a pu savourer sa vengeance cinq ans plus tard grâce à son petit scénario de licenciement, brutal, mais efficace.

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