Un patient ainsi diagnostiqué éprouverait  » de façon récurrentes des fantasmes sexuels intenses, pendant au moins six mois consécutifs. Leur hypersexualité serait à la fois incontrôlable et pénible, portant gravement atteinte à une vie normale et conduisant à la possibilité d’automutilation.

Selon ce code, le désordre sexuel serait diagnostiqué généralement chez les patients âgés de plus de 18ans. Il peut prendre la forme de la masturbation, d’addiction à la pornographie, au sexe « avec des adultes consentants, » la cyber-sexualité, le sexe par téléphone, « les divertissements sexuels pour adultes dans des lieux privés ou clubs. Un éventail bien large.

Notis©2016