La façon dont le virus COVID-19 affecte une personne peut être exacerbée par l’air qu’elle respire.

Les chercheurs ont découvert un lien entre l’exposition aux particules en suspension dans l’air, notamment les particules fines appelées PM2,5 et le dioxyde d’azote (NO2), et le risque accru de complications graves du coronavirus.

« Notre recherche a démontré qu’une exposition moyenne sur un an aux PM2,5 se traduit par une augmentation de 20 à 30 % du risque d’hospitalisation, d’assistance respiratoire intensive et d’admissions aux soins intensifs à cause du vrus COVID-19. »