unsnatalia-gherman

A 47 ans, elle a servi comme ministre des Affaires étrangères de son pays et a travaillé comme ambassadeur dans de nombreux pays européens.

Igor Luksic, Monténégro
À 39 ans, Liksic est l’un des plus jeunes prétendants. Il est actuellement le ministre des Affaires étrangères du Monténégro et a été Premier ministre du pays de 2010-2012.

Igor Luksic

Son coté pro-OTAN et sa position pro-occidentale ne plaisent pas à Moscou.
Danilo Turk, Slovénie
Considéré comme étant l’un des pères fondateurs de la Slovénie, l’ancien président slovène a servi comme ambassadeur à l’ONU dans les années 90 et a travaillé dans un poste politique de haut rang sous l’ancien Secrétaire général, Kofi Annan.

unsDanilo Turk

Il a également travaillé en étroite collaboration avec le conseil d’Amnesty International sur les cas impliquant des violations des droits de l’homme dans l’ex-Yougoslavie.
Helen Clark, Nouvelle-Zélande
L’ancien Premier ministre de Nouvelle-Zélande, qui occupait le poste depuis près d’une décennie (1999-2008), est devenu le quatrième concurrent féminin pour le plus haut poste de l’ONU.

unsHelen Clark

Elle a été directrice du Programme de développement (PNUD) pendant sept ans et est considérée comme bien outillée pour gérer la pression qu’exige la fonction de Secrétaire général de l’ONU.
Antonio Guterres, Portugal
Le socialiste et pro-européen Guterres, 66 ans, a terminé son mandat en tant que Haut-Commissaire de l’ONU pour les réfugiés en 2015, après avoir travaillé à l’agence pour les réfugiés pendant une décennie.

unsAntonio Guterres

Auparavant, il a été premier ministre du Portugal de 1996 à 2002. Ce profil est considéré comme un candidat sérieux, en raison de son mandat au HCR : il a été l’un des premiers à tirer la sonnette d’alarme sur la crise croissante des migrants.
Vesna Pusić, Croatie
L’ancien ministre des Affaires étrangères croate et vice-Premier ministre a créé la première organisation féministe en ex-Yougoslavie en 1979. Avant de superviser l’entrée dans l’UE de son pays en 2013.