« Je pense qu’ils sont allés trop loin dans ce document », déclare Willett. « Il y a des risques et des avantages, et je pense qu’il est important d’avoir les meilleures informations sur toutes ces questions et de prendre des décisions personnelles, et d’engager également les acteurs de soins de santé dans ce processus. »
Madame Gakidou a répondu à cette critique en affirmant la recommandation parue dans son journal est valable précisément parce que les décisions individuelles en matière de santé sont variables. « Nous n’avons pas l’information adressés spécifiquement  à des individus … nous formulons des recommandations globales qui s’adressent à toute la population. Si vous dirigez un système de santé dans un pays, il vaut mieux dans, l’intérêt général, conseiller à la population de ne pas boire du tout que de boire un peu. »

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