Une équipe de scientifiques ont remis en cause la thèse selon laquelle les êtres humains sont conçus pour avoir des relations monogames.

Selon leur recherche, les femmes, en particulier, sont « génétiquement programmées » pour avoir plusieurs « plans ».  Cette prédisposition pour des « affaires » est comme un filet de sauvegarde sur lequel elles se rabattent quand « tout va mal ».

Rompre avec un partenaire et s’accoupler ensuite avec un autre est l’une des caractéristiques du genre humain. La monogamie permanente ne serait pas une caractéristique des motifs d’accouplement primaires de l’homme, conclu cette étude.

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La recherche permanente d’un partenaire idéal serait l’une des causes de la mauvaise santé et finalement de la mortalité précoce de nos lointains ancêtres

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En dépit des affirmations anecdotiques au sujet de l’infidélité, aucune étude n’a montré que les humains sont prédisposés à la monogamie ou la poly-gamie. Cependant, une étude menée sur le sujet par des chercheurs de l’Université d’Oxford a trouvé une corrélation entre la longueur des doigts d’un individu et la probabilité qu’il trompe un(e) partenaire.

Ceux dont les l’index et l’annuaire sont de la même longueur seraient plus susceptibles d’être des amants fidèles.

En revanche, ceux qui ont ces deux doigts inégaux changeraient de partenaires comme des robes (ou des chemises).

Cependant, ces chercheurs ont souligné qu’ils ne pouvaient pas établir un lien de causalité. « La distinction devient subtile quand on observe un grand groupe de personnes », a affirmé le principal auteur de cette étude, le professeur Robin Dunbar.