Selon plusieurs sondages, après quarante-cinquante ans, les niveaux du bonheur et de la satisfaction de la vie baissent à leur plus bas niveau, tandis que la détresse psychologique est à son apogée. Quarante-cinq ans est souvent l’âge le plus commun pour faire une dépression.

Beaucoup de gens «d’un certain âge» ayant passé leur vie à gravir l’échelle sociale découvrent finalement qu’ils étaient appuyés contre le mauvais mur.

Le processus de vieillissement n’aide pas. Les douleurs ne disparaissent plus rapidement, maintenant, ils traînent pendant des mois, voire des années. Les cheveux ne poussent plus sur la tête. Impossible de s’asseoir, se tenir debout, ou ramasser un objet sans émettre un grognement plaintif.

A l’âge de l’anxiété apparaissent les «nuits obscures de l’âme». On les passe à regarder le plafond, réfléchir à la question ultime de l’âge mûr: «Tout ça pour ça? »

Non! la crise de la cinquantaine n’est pas que de l’obscurité ; elle s’accompagne de cinq bonnes nouvelles :

Réactivité

Passé cinquante ans, on devient « rapide », mais d’une manière différente. Certes, nos réactions deviennent lentes avec l’âge. Mais cette vitesse est surévaluée. Les tests cognitifs impliquant des compétences verbales, la perception spatiale, les mathématiques, le raisonnement et la planification, montrent que nos cerveaux sont en fait mieux à l’âge mûr. Les compétences mathématiques atteignent le pic autour de 40, les aptitudes verbales autour de 60.

Expérience

Les personnes âgées savent tout simplement plus que les jeunes.