L’Espagne voudra organiser une autre élection générale en 2016, après le vote de fin décembre 2015 qui à fracturé le pays. C’est une nécessité pour éviter l’instabilité gouvernementale.
5. Les Jeux olympiques Rio de Janeiro

Les États-Unis seront en tête sur le tableau des médailles, suivis par la Chine, comme à Londres il y a quatre ans. La Russie sera autorisée finalement à concourir, malgré le scandale de dopage. Malheureusement, les matchs seront joués sur fond de mécontentement social au Brésil, alimentée par la corruption et une détérioration de l’économie nationale.
6. Les présidents africains qui s’accrochent

En Ouganda, le président Yoweri Museveni va célébrer ses 30 ans au pouvoir avec une victoire dans une autre élection truquée. Son homologue zimbabwéen, Robert Mugabe, un autre autocrate moisi par la vieillesse, sera frappé d’une incapacité physique de diriger le pays. Sa femme prendra sa succession au sein du parti et ensuite bonjour les dégâts. Le Burundi s’enlisera dans sa crise pendant toute l’année. Paul Kagamé sera toujours là au Rwanda, après avoir manipulé les textes et les élections, malgré les protestations de la communauté internationale

  1. La crise du pétrole et gaz

Les prix du pétrole resteront bas toute l’année, à la grande consternation des pays tels que le Nigeria, l’Angola, le Venezuela et la Russie. Mais que dire des grands producteurs de pétrole arabes comme l’Arabie saoudite? Si les engagements pris lors du sommet COP21 en décembre 2015 sont respectés, une grande partie de leur précieuse étoffe noire devra rester dans le sol pendant des décennies.
8. Le championnat européen de football