Une étude révèle une hausse significative des consommateurs de produits explicitement pornographiques. Sont concernés, aussi bien les adolescents, les adultes que les personnes plus âgées. Tous ces utilisateurs en ligne partagent la conviction que la pornographie est «moins risquée que la pratique sexuelle.»

Cependant, les hommes religieux, notamment, les pasteurs, disent « résister » à l’utilisation de ce produit de grande consommation.

Définition fonctionnelle

Le rapport sur le «le phénomène», a nécessité plus de 3 000 entrevues. Les auteurs ont tenté de donner une définition du porno. Selon les chercheurs, la pornographie se définie plus clairement par sa fonction, plutôt que par la forme. Le porn est destiné avant (et après) tout à l’excitation sexuelle. Les personnes interrogées et la plupart des consommateurs de films pornos ne croient pas que cette excitation nécessite la présence pleine ou partielle de la nudité, en particulier.

Avec la facilité de l’accessibilité numérique qui caractérise cet ère «les gens regardent la pornographie, consciemment ou inconsciemment ». Par conséquent, les attitudes envers le sujet ont énormément changé, en peu de temps. En effet, alors que la plupart des gens disaient que porno est «mauvais pour la société», ce point de vue tend vers la neutralité. Certains disent même que c’est «bon pour la santé et la société», surtout les jeunes générations, explique le rapport. Seule une petite minorité d’adultes disent ressentir une culpabilité associée à l’utilisation de la pornographie. Une petite minorité d’adolescents et une majorité écrasante de chrétiens pratiquants ont dit être confrontés à cette culpabilité qui suit le visionnage de scènes salaces.