Le bonheur peut prédire la santé et la longévité. C’est aussi un indice pour mesurer le progrès social, politique et économique d’une nation. Mais le bonheur n’est pas un don et personne n’a le monopole du bonheur.

Selon les scientifiques spécialistes du comportement, nous avons tous, quelque soit notre statut social, le pouvoir d’apporter de petits changements dans notre comportement et à notre environnement, qui peuvent nous aider à nous orienter vers une vie plus heureuse :

Combattre la négativité

Tous les êtres humains ont tendance à ruminer davantage les mauvaises expériences que les acquis positifs. C’est une adaptation évolutive et non figée, car trop s’attarder sur des situations dangereuses ou blessantes que nous rencontrons tout au long de notre vie (intimidation, traumatismes, trahison) n’aide pas forcément à les éviter et à réagir rapidement en cas de crise.

Il faut donc travailler en profondeur pour entraîner le cerveau à vaincre les pensées négatives. Voici comment y arriver:

*N’arrêtez pas les pensées négatives. En vous disant «je dois arrêter de penser à cela», cela vous poussera à y penser davantage. Au lieu de cela, maîtrisez vos soucis. Lorsque vous êtes dans un cycle négatif, reconnaissez-le. « Je m’inquiète pour l’argent » ; « Je suis obsédé par les problèmes au travail »…

*Traitez-vous comme un ami. Lorsque vous vous sentez négatif envers vous-même, demandez-vous quel conseil donneriez-vous à un(e) ami(e) en état de dépression? Puis, essayez de vous appliquer ce conseil.